Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épisode 1).


Ce matin-là, Virginie prit soin de se maquiller et de se faire encore plus belle que la veille au soir. Elle savait que Bruno son moniteur d’auto-école allait encore la charrier et la chahuter. La belle au fond d’elle, aimait bien cela mais ne voulait pas l’admettre ni le reconnaitre en public. C’était pour elle son jardin secret et intime. Et nul n’avait le droit d’empiéter sur ses instants de bonheur passés dans la voiture avec celui qui allait être l’un de ses premiers amants. Pas même Bob qui était pourtant son chéri de tous les jours.

Nono (c’est ainsi qu’elle l’appelait) était un homme dans la force de l’âge, d’une trentaine d’années, un séducteur et un athlète, disons plutôt, un charmeur au physique bien proportionné et bien membré. Virginie avait tout de suite vu en lui le potentiel érotique et le sex-appeal qui se dégageait de cet homme qui lui voulait du bien : il lui parlait d’une voix douce, tantôt suave, tantôt autoritaire mais rassurante. Et la belle, à l’instantané, se sentit très vite toute chose avec lui. Bruno s’en aperçut sans la moindre difficulté et sentait qu’il pourrait aller loin avec elle.

Mais, pour commencer, plantons le décor. Nous sommes en septembre, au tout début du mois. C’est la fin de l’été et il fait encore très chaud. Le code de la route en poche, ma chérie s’inscrivit dès lors pour ses premières heures de conduite. Une formalité pour tout ceux qui rêvent un jour de gagner leur indépendance en ne dépendant plus de papa maman pour les transports. C’est qu’à l’époque, en ce temps-là, nous n’avions encore que 20 ou 22 ans. Nous vivions encore chacun chez nos parents et n’étions pas encore rentrés dans la vie active. Nous étions heureux mais nous devions avancer dans la vie.

C’était donc le samedi matin. Virginie ne prenait ses heures de conduite qu’une fois par semaine parce que le reste du temps, elle devait, chaque jour, monter à Paris pour ses études. Ces journées de septembre étaient parmi les plus belles et les plus chaudes de la saison.

Nono avait convaincu Virginie de prendre ses heures de conduite par bloc de deux heures l’une à la suite de l’autre. C’était, dit-il, le meilleur moyen de réussir. La belle lui fit confiance et dès la semaine suivante, elle rempila pour deux heures. Ce jour-là, elle s’était faite particulièrement belle en revêtant une jupe courte esprit tailleur. Dans la voiture, Bruno ne manqua pas de lui faire la remarque :
- « Tu t’es faite belle aujourd’hui, dis-moi ! C’est pour moi que tu t’es habillée comme ça ? »

Virginie aimait beaucoup jouer sur l’ambiguïté des mots et cultiver le mystère :
- « Ahah ! fit-elle avec enthousiasme, peut-être ! »

Bruno était satisfait de la réponse. La belle venait de lui laisser une opportunité, celle d’aller plus loin dans ces échanges :
- Ton copain est au courant ? ajouta-il, en fixant les cuisses de ma chérie.
- Humm, je crois que non, je ne l’ai pas vu ce matin, rétorqua la belle, malicieusement.

Bruno sentait en lui monter le désir. Il sentait que cette femme tout près de lui était sans doute chaude comme de la braise. Il la voulait, rien que pour lui ; toucher ses seins, caresser son sexe, peut-être même lui mettre un doigt. L’excitation allait à son comble.

- « Tiens, prends à droite là. »
Bruno indiquait la route à Virginie et l’emmena près d’un village en lisière de forêt. Il demanda à la belle de se garer sur un petit parking fait de terre battue. Soudain, alors que Virginie venait de se garer et de couper le moteur, il adressa la parole à ma belle en ces termes :
- J’ai trop envie de voir tes seins. Montre-les-moi !
- Ah ! j’en étais sûre ! répondit Virginie, avec assurance et enthousiasme.
- Tu sais bien que je ne peux pas faire ça. Je suis déjà en couple, ajouta-elle.
- Allez, rien qu’une fois ! Je les embrasse, je les caresse et après on n’en parle plus.
- Et que vais-je dire à mon chéri ?
- Il n’en saura rien ! Tu ne lui diras rien et c’est tout !

A ces mots, Virginie sentait qu’elle pouvait se permettre de dénuder sa poitrine :
- Ok, mais on ne va pas plus loin !
- Je te promets, rétorqua Bruno.


Ayant reçu la confiance de Nono, Virginie passa ses mains dans le dos et dégrafa d’elle-même son soutien-gorge. Bruno dégrafa lui-même les boutons du chemisier que Virginie avait revêtue pour l’occasion. Elle savait, depuis la semaine dernière déjà, que Bruno ne résisterait pas à la tentation et avait mis son chemisier en conséquent.

- Ils sont magnifiques ! insista Bruno tout en les caressant et en les pressant avec force de ses deux mains.
- Doucement, tu vas me faire mal ! ajouta la belle.
- Ils sont trop beaux, je les veux. Je les veux dans ma bouche, Hummm !
Bruno embrassait, caressait, et malaxait les seins de ma copine :
- Tes tétons deviennent déjà tous durs ! C’est top ! ajouta-t-il.

Virginie était confuse, presque gênée :
- Ce doit être l’excitation !
- Oui, rétorqua Bruno en s’arrêtant soudainement d’embrasser les seins de ma belle. Ça doit être ça. Avoue que toi aussi tu es excitée !
- C’est vrai, je ne vais pas dire le contraire, ajouta Virginie.

A ces mots, Bruno plongea de plus belle entre les seins de Virginie, les malaxant et les triturant davantage jusqu’à ce qu’ils augmentent de volume. La belle laissa faire son hôte, se disant qu’après cela, il la laisserait tranquille. Elle ne voyait pas cependant que dans son pantalon, Bruno s’était mis à bander comme un taureau.


A suivre…

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